12. Espace de travail principal - Fiche entité
Quand on clique sur le bouton « info » d’une entité/compteur dans le sélecteur d’entités, ou quand on clique sur un résultat proposé par le bouton de recherche, on ouvre la fiche de l’élément choisi dans l’espace principal de travail.
Une fiche classique se présente comme ceci :

A. Informations générales
Dans l’en-tête de cette fiche, on peut trouver les informations générales qui y sont associées. En haut à gauche, on a son nom, puis sa référence en gris. Juste en-dessous, on retrouve l’icône associée à l’entité ainsi que son type. (Ici, il s’agit d’un type « SITE », mais cela pourrait être une « ENTITY », ou un « METER » (compteur), ou tout autre type prédéfini dans la base de données)
A côté de cela, on a un bouton « Statut » permettant d’activer ou désactiver une entité/compteur au besoin. Le bouton ouvre un pop-up permettant de définir les périodes d’inactivités de l’entité/compteur, et cette information de statut peut ensuite être utilisée dans les formules pour exclure les compteurs inactifs des bilans de consommation par exemple.
En haut à droite, on trouve deux boutons.
- Le premier en étoile permet de marquer cette entité comme étant un
favori (elle apparaitra dès lors dans la liste des favoris, dans le sélecteur d’entités en mode favoris) - Le bouton en petits points permet quant à lui d’ouvrir une liste d’options permettant d’éditer, de minimiser ou de fermer la fiche, ou de rajouter l’entité/compteur affichée à la sélection active. L’édition n’est évidemment disponible que pour les utilisateurs qui ont les droits de modification sur l’entité affichée.
B. Onglet « Structure »

Cet onglet de la fiche entité permet de visualiser le voisinage proche de notre entité sélectionnée.
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Le cadre en haut à gauche affiche le lien de parenté ascendant de mon entité/compteur. Dans l’exemple ci-dessus, on a donc une entité « Site de la plaine » qui est enfant de l’entité « Bruxelles ».
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Le cadre en bas à gauche permet de visualiser les enfants de l’entité sélectionnée, organisés en arbre de parenté. Dans l’exemple, le « Site de la plaine » a 2 enfants : le « Bâtiment A » et le « Bâtiment B ».
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Le cadre de droite reprend toutes les autres entités/compteurs reliées à mon entité sélectionnée, triées selon le type de lien logique qui les unit. Dans l’exemple, on retrouve les compteurs de consommation associés à mon entité sélectionnée, reliés via des liens « ENTITE - COMPTEUR » (ENTITY_METER), puis un compteur technique relié par un lien « TECHNIQUE » (TECHNICAL) et enfin le compteur de la station météo la plus proche, relié par un lien « METEO » (WEATHER).
Toutes les entités/compteurs visibles sur la fiche entité sont cliquables pour ouvrir la fiche de l’entité/compteur correspondante, ce qui permet de naviguer facilement dans l’arborescence, d’une entité/compteur à l’autre.
C. Onglet « Propriétés »

L’onglet « Propriétés » rassemble toutes les propriétés associées à l’entité/compteur. Ces propriétés sont organisées en blocs, dépendants du type d’entité considérée. Exemple : les propriétés disponibles pour un site seront différentes de celles d’un compteur. Pour faciliter la lecture, les blocs peuvent être déployés ou minimisés en cliquant simplement sur le petit > ou V à côté du nom du bloc (dans la bande colorée).
Les propriétés et blocs de propriétés sont définis et mis à jour par les administrateurs METRON ENERGY MANAGEMENT (JOOL).
Chaque bloc de propriétés peut être défini comme étant
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Simple : une seule valeur, permanente. Exemple : identifiant du site.
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Multiple : plusieurs valeurs valables simultanément. Exemple : le nom des personnes de
contact.
- Historisé : un seul jeu de valeurs, mais qui peut évoluer dans le temps. Chaque instance de ces valeurs pourra alors être associée à une date de début et une date de fin de validité. Exemple : la surface d’un bâtiment.
La référence de chaque propriété ou bloc de propriétés peut être visualisée dans une infobulle apparaissant à côté de la souris, au survol du nom de la propriété (ou du bloc).
Dans le cas de blocs multiples, un ID sera visible dans la colonne « # ». Cet ID permet d’identifier clairement l’instance du bloc de propriété qui nous intéresse, que cela soit pour un affichage spécifique ou pour le repérer lors d’un import massif.
Dans le cas d’un bloc historisé, en plus de l’ID (utilisé de la même manière que pour les blocs multiples), les colonnes « Depuis le » et « Jusqu’au » de la fiche pourront contenir respectivement les date de début et de fin de validité des valeurs du bloc. Si la colonne « Depuis le » est vide, cela implique que les valeurs du bloc sont valables depuis toujours. De même, si la colonne « Jusqu’au » est vide, les valeurs du bloc sont valides pour toujours. Dans le cas où plusieurs instances d’un même bloc historisé sont présentes (avec des périodes de validité différentes ne se superposant donc pas), les instances passées du bloc de propriété auront une teinte pâle sur leur en-tête et l’instance actuelle du bloc sera dans la couleur normale.

Dans l’exemple ci-dessus, le bloc « Adresse - Entité » est un bloc multiple avec une ID (1), et le bloc « Informations techniques générales - Entité » est un bloc historisé, qui a deux instances dans cette fiche, la première valide jusqu’au 1/01/2019, avec son en-tête pâle, et la seconde valable à partir de la même date, dont l’en-tête à la couleur normale.
D. Onglet « Canaux »
Dans le cas d’une fiche de compteur (point de comptage), l’onglet « Canaux » reprendra la liste des différents canaux source constituant le compteur. Dans le cas d’une entité (type SITE, BATIMENT... ), l’onglet restera vide puisqu’aucun canal de donnée n’y est directement lié.

Sur la gauche de l’interface, on voit apparaitre en colonne la liste des canaux associés au compteur. Chaque canal y est identifié par son type (et éventuellement un nom optionnel), et cliquer sur l’un d’entre eux affichera le détail des propriétés de ce canal dans sa fiche sur la partie de droite.
L’un des canaux source est marqué comme étant le canal par défaut. C’est celui qui sera appelé quand on demandera le « profil du compteur » sans préciser un canal spécifique. Il contiendra généralement la consommation globale du compteur, les autres canaux étant soit des consommations partielles (heures pleines, heures creuses... ) ou des mesures secondaires (réactif, A+, A-... ).
Dans le haut de la fiche de chaque canal, on peut voir le type du canal (MAIN, MODEL, TEMPERATURE, HP, HC, MANUEL, VIRTUEL... ) ainsi que son nom (s’il en a un) et sa référence.
Dans la partie de droite, on voit donc toutes les propriétés associées spécifiquement au canal source sélectionné. Les propriétés sont organisées en onglets :- Propriétés : pour les propriétés du canal. Ces propriétés sont organisées en blocs, simples, multiples ou historisés, et ils sont gérés exactement comme les blocs de propriétés des entités. Exemple de propriétés de canaux : le pas de temps, l’unité, le type de ressource mesurée...
- Alarmes : pour les propriétés spécifiques relatives aux gestions des alarmes sur ce canal. De nouveau, ces propriétés sont organisées en blocs, chaque bloc correspondant aux propriétés de configuration d’un type d’alarme donné. La gestion est à nouveau similaire aux blocs de propriétés des entités. Exemple de propriétés d’alarmes : les seuils de déclenchement, les types d’alarmes à monitorer...
- Formules : la ou les formules (historisée) éventuelles. Dans le cas d’un canal virtuel calculé, la formule indique comment constituer le profil de données du canal concerné, en se basant éventuellement sur les profils d’autres canaux.

Les formules seront rédigées en langage METRON ENERGY MANAGEMENT (JOOL) et peuvent faire appel à la totalité des fonctions disponibles dans la syntaxe. Remarque : le mot clé « Selection » utilisé dans une formule de canal pointera vers le compteur complet auquel appartient ce canal.
Dans le haut de cet onglet « Formules » se trouve un sélecteur de contexte et un bouton « Mise à jour des données ». Ce bouton permet de forcer le redémarrage du précalcul pour le canal concerné, et ce dans les limites du contexte temporel choisi. Cela permet à un administrateur qui a effectué une modification de formule ou une correction de données de forcer un recalcul sans devoir attendre que la tâche automatique de précalcul ne tourne automatiquement.
- Données : contient une interface permettant de visualiser et de corriger les données du canal.

La colonne « Date » indique la FIN de période de mesure (une relève est généralement disponible à la fin de l’intervalle de temps qu’elle mesure), les valeurs brutes (directement stockées dans la DB sans modification numérique) sont disponibles dans la colonne suivante, et la colonne « Statut » indique si la donnée est par exemple une relève directe (Real) ou une donnée reconstruite.
Dans le haut de la page, un sélecteur de contexte temporel permet de choisir quelle tranche de temps analyser. Les champs « Valeur Min » et « Valeur Max » permettent de filtrer la recherche, et le bouton «Recharger» (les flèches en cercle) envoie la demande de récupération de données.
En haut de chaque colonne, un bouton d’option permet de redimensionner les
colonnes ou de filtrer leur contenu.
Si l’utilisateur en a les droits dans METRON ENERGY MANAGEMENT (JOOL), il pourra passer en mode édition et corriger les données directement via cette interface.
Dans le cas d’un canal calculé (contenant une ou plusieurs formules), et dont les valeurs ne sont donc pas libres mais résultant d’un précalcul, une icône de cadenas indiquera que les données ne sont pas éditables.

E. Onglet«Documents»
L’onglet « Documents » reprend une liste des fichiers qui ont été stockés sur cette entité. On peut y mettre des fichiers de n’importe quel format, et ceux-ci peuvent être organisés en dossiers.
Un clic sur le nom de l’un des documents lancera son téléchargement.
C’est également dans cet espace que pourront être stockés automatiquement les rapports générés par les tâches récurrentes (envois de rapports).
F. Onglet «Factures»

L’onglet « Factures » liste toutes les factures qui ont été attachées à l’entité ou au compteur choisi.
Dans le haut de la zone principale d’affichage, on peut trouver un sélecteur de dates permettant de filtrer les factures affichées selon une tranche de temps donnée. On y trouve également un champ de recherche par référence, et un menu déroulant permettant de filtrer les factures affichées par type (Fournisseur, Défaut, Proforma... )
Dans le fond de la page, on peut choisir le nombre de factures affichées par page de résultat, et on peut changer de page au besoin.
Le tableau listant les factures affiche quelques informations utiles pour identifier la facture que l’on recherche (id, date de début et de fin de facturation... ), et la première colonne contient les identifiants des factures sous forme de liens hypertexte envoyant vers la page de la facture.
Remarque : quand on clique sur un lien de facture, on quitte la fiche entité que l’on explorait pour ouvrir la fiche de la facture. Les deux fiches seront alors présentes séparément dans l’historique de navigation de METRON ENERGY MANAGEMENT (JOOL) (section à la droite de l’écran).
Affichage d’une facture
Une fiche facture se présente comme ceci :

Dans le haut de la fiche facture, on retrouve ses informations principales d’identification, comme sa référence, l’entité à laquelle elle est attachée (sous forme de lien hypertexte pour revenir à la fiche de cette entité), sa date de début et sa date de fin, ainsi que son type.
En-dessous, on retrouvera toutes les informations associées à la facture, sous forme de propriétés, disposées une fois de plus comme les blocs de propriétés des autres objets de la base de données (propriétés d’entités, de compteurs, de canaux, d’utilisateurs... )
Tout en haut à droite de la page, on retrouvera le bouton d’options ( ... ), permettant de passer en mode édition et de modifier les valeurs des propriétés de la facture (si l’utilisateur a les droits correspondants), comme pour toutes les autres propriétés des autres objets de la base de données.
G. Onglet « Evénements »
Un événement (Event), est un bloc de propriétés temporaire que l’on peut attacher à une entité/compteur pour notifier une circonstance inhabituelle. Dans le cadre d’une analyse des consommations du site associé par exemple, l’événement viendra signaler qu’il y’a des circonstances exceptionnelles, et que cela peut expliquer une certaine dérive des consommations par rapport à la normale.
Exemple de types d’événements :
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Travaux : En cas de travaux sur un site, on peut créer un événement indiquant ces travaux. L’événement sera valable de la date de début des travaux à leur date de fin, et il pourra contenir toute une série d’informations relatives aux travaux menés, comme le nom du responsable de chantier, le contenu exact des travaux, le budget alloué, les améliorations escomptées...
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Fermeture : Ce type d’event pourra expliquer les chutes de consommation pendant les périodes d’inactivité de l’entreprise.
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Informations : Un event peut aussi ne rien avoir à faire avec la consommation, mais être simplement utilisé comme moyen d’informations sur certains sujets. On pourrait par exemple attacher à chaque site un ensemble d’événements listant les nouvelles associées à ce site et qui serait reprises dans un tableau de bord, comme un bulletin d’informations.
Sur la fiche entité/compteur, l’onglet « Evénements » se présente comme ceci :

Comme pour les factures, on retrouve un sélecteur temporel permettant de filtrer les events affichés, ainsi qu’un champ « Référence » permettant de rechercher un event spécifique. On a aussi un champ « Type » permettant de n’afficher que les events d’un type donné, et enfin, le bouton « Recharger » (les flèches en cercle) permettent d’envoyer la demande filtrée.
Dans le tableau, on trouvera la référence de chaque événement sous forme de lien cliquable qui ouvrira la fiche de l’événement. On voit également le type de chaque événement, associé à une icône et une couleur (configurées par l’administrateur lors de la définition des types d’events), ainsi que les dates de début et de fin de validité de l’event.
Remarque : un event peut ne pas avoir de date de fin (date de fin de travaux encore inconnue par exemple), mais il doit avoir une date de démarrage.
Affichage d’un événement
Quand on clique sur le lien d’un événement dans l’onglet « Evénements » d’une entité/compteur, on ouvre la fiche de cet événement. Celle-ci a l’apparence suivante :

Dans le haut de la fiche d’un événement, on retrouve sa référence, son nom, son type, l’icône associée, et ses dates de début et de fin de validité.
On trouvera également un champ « Entités » indiquant le nombre d’entités auxquelles l’event est associé. En cliquant sur ce nombre, on obtient la liste des entités en question et on peut ouvrir leurs fiches au besoin.
En mode édition, et si l’utilisateur actif a les droits correspondants, il pourra également ajouter ou retirer des entités liées. En effet, des travaux peuvent potentiellement impacter plusieurs compteurs sur un site... ils seront alors tous liés à l’événement indiquant les travaux.
Le reste de la fiche est divisé en plusieurs onglets :
- Propriétés : contient les propriétés associées à cet événement. L’affichage est similaire à celui des blocs de propriétés des autres objets comme les entités, canaux, utilisateurs...
- Commentaires : Cet onglet reprend le fil de discussion associé à cet événement. On peut y voir, par tranches de dates, les commentaires laissés par les différents intervenants avec le nom, la date et l’heure de chaque message.

Tout en haut à gauche de la fenêtre de discussion, une petite icône de punaise permet de punaiser ce fil de discussion à son interface. Cette discussion apparaitra alors en bas à droite de l’écran de METRON ENERGY MANAGEMENT (JOOL), à la manière d’un système de messagerie instantanée.
Une fois la discussion punaisée à l’interface, on peut fermer la fiche de l’événement sans perdre de vue la discussion. Il est possible de minimiser la fenêtre de discussion et de la récupérer avec les boutons tout en haut à droite de son cadre.

Dans l’en-tête de la fenêtre de discussion, on trouvera aussi un lien qui permet de rouvrir à tout moment la fiche de l’événement associée à cette discussion.
Quand une discussion est punaisée à l’interface et minimisée, son cadre se mettra à clignoter pour signaler l’arrivée de tout nouveau message dans la discussion.
- Documents : De la même manière que pour une entité/compteur, il est possible d’associer des documents à un événement particulier. On pourrait par exemple y voir les photos d’un compteur endommagé, prises par le technicien qui a remarqué les dégâts et créé l’event directement via l’application mobile...
- Destinataires : Par défaut, tout utilisateur qui a droit à voir une entité/compteur a droit de voir les événements qui y sont associés. Cependant, par moments, il peut être pertinent de rajouter quelqu’un à la liste de façon ponctuelle. L’onglet « Destinataires » permet de faire cela, en rajoutant des destinataires supplémentaires pour des events spécifiques en cas de besoin.
H. Onglet « Contrats »
L’onglet «Contrats» sur une fiche entité/compteur reprend la liste des contrats auxquels l’entité/compteur est associée. L’interface de cet onglet ressemble fortement à celle des onglets de factures ou d’événements.
On y retrouve un sélecteur de date et un champ de recherche de référence pour filtrer les contrats affichés, ainsi qu’un bouton pour relancer une recherche.
Les résultats sont affichés dans une table avec la référence et le nom de contrat, le nom du client concerné, et les dates de début et de fin de validité du contrat. La référence de chaque contrat est un lien url permettant d’ouvrir la fiche du contrat associé.
Affichage d’un contrat
Quand on clique sur le lien d’un contrat dans l’onglet « Contrats » d’une entité/compteur, on ouvre la fiche de ce contrat. Celle-ci a l’apparence suivante :

On retrouve l’en-tête reprenant la référence et le nom du contrat ainsi que ses dates de début et fin de validité. On a aussi l’indication du client auquel le contrat est lié, et un bouton « Zones » qui ouvre un pop-up listant les zones concernées par le contrat, autrement dit les différentes entités sur lesquelles le contrat porte.
Exemple : le contrat visible dans l’exemple ci-dessus concerne le client « LHT_CLIENT_TEST », et il porte sur la zone « Bâtiment 2 ».
Dans le cadre d’une ou plusieurs zones, un contrat peut alors se décomposer en plusieurs unités locatives. Une unité locative est un lot de compteurs (appartenant aux zones concernées par le contrat) qui seront traités de façon similaire par le contrat en termes de méthodes de répartition et de facturation.
Chaque unité locative donnera lieu à un onglet sur la fiche contrat. Dans l’exemple, il n’y a qu’une seule unité locative, appelée « Unit 1 ».
Dans l’onglet de chaque unité, on aura alors un cadre listant les méthodes de répartition, et un autre listant les méthodes de facturation.
En ce qui concerne les méthodes de répartition, on aura une ou plusieurs lignes par compteur concerné, indiquant pour chacun d’entre eux si sa consommation doit être attribuée totalement ou partiellement au client lié au contrat. Les méthodes de répartition disponibles sont :
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Totalité : toute la consommation du compteur est imputée au client
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Pourcentage : une valeur en % de la conso du compteur est attribuée au client
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Pourcentage via une propriété : la proportion de consommation est imputée via une valeur à mettre en relation avec une propriété donnée. Cette méthode permet par exemple de spécifier que le client loue 500m2 de surface, alors que la surface totale est indiquée ailleurs, dans une propriété de METRON ENERGY MANAGEMENT (JOOL). Le système fera alors le ratio entre la surface louée (configurée dans la méthode de répartition) et la surface totale (indiquée dans une propriété) et attribuera cette proportion de la conso du compteur au client.
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Taux fixe journalier / Taux fixe mensuel : Ces méthodes imputent une valeur fixe par jour ou par mois de consommation au client.
Il faut savoir que ces méthodes de répartition peuvent avoir une période de validité (limitée en pratique par la validité du contrat lui-même), et que plusieurs méthodes peuvent cohabiter au même moment, pour un même compteur. En effet, on pourrait imaginer une imputation avec une partie fixe mensuelle à laquelle on ajoute un pourcentage fixe par exemple. Si plusieurs méthodes de répartition cohabitent de la sorte, la consommation imputée finalement sera la somme de toutes les consos calculées par chaque méthode.
Important : si un utilisateur affilié à un client se connecte, il verra ses compteurs, même ceux qui sont partagés par plusieurs locataires (plusieurs contrats simultanés répartissant la consommation), mais il ne verra pour chacun de ses compteurs que la consommation qui lui est spécifiquement attribuée par la méthode de répartition concernée. C’est tout le principe de ce module locataire, dont les détails seront abordés dans un fascicule de l’expert dédié.
Enfin, en ce qui concerne les méthodes de facturation, on aura une ligne par méthode, avec ses dates de validité, le type de la méthode utilisée et la liste des propriétés qu’elle requiert avec leurs valeurs configurées. Les méthodes de facturation doivent être pré-créées par un administrateur pour être utilisées ici, et les propriétés utiles font partie intégrante de la définition de cette méthode.
Important: Les méthodes de facturation n’ont pas d’impact direct sur les infos affichées (contrairement aux méthodes de répartition qui filtrent les données affichées aux utilisateurs du client pour ne leur montrer que leur part de conso pour chacun de leurs compteurs), et les valeurs configurées ici seront accessibles pour être utilisées dans les datasets et les feuilles de calcul que l’on pourra créer dans le moteur de METRON ENERGY MANAGEMENT (JOOL).